Yacine
La tempête immense soufflait et
fouettait les remparts. Les vagues roulaient sur le sol de la plage
mou comme de la boue. Le cri des mouettes dérangeaient les hommes.
On sentait les algues gluantes . L'orage s'approchait. Deux hommes
rangeaient leurs affaires comme s'ils allaient partir. La mer
commençait à se dérouler. Le vent frappait tous les volets des
maisons. On sentait la fraîcheur des galets.
Amira
On apercevait deux hommes, debout sur
une grande et grosse roche, avec comme des sortes de tente. La mer
agitée était de couleur triste et pâle. La tempête était forte,
elle tapait sur la roche. La pluie inondait les barques. Malgré la
tempête, la grande falaise solide ne bougeait pas. Les vagues,
tapaient sur les roches et atterrissaient sur les deux hommes déjà
mouillés.
Aryham
C'était
un jour tempête . Les rafales de vent claquaient le visage . On
entendait l'orage qui grondait et les vagues qui s'écroulaient sur
la falaise . Les mouettes criaient sans-arrêt. Une odeur spéciale
se rependait, on sentait les algues, les poissons dans la mer, les
cailloux mouiller et l'humidité qui collait à la peau... Il y avait
deux silhouettes. Elles semblaient très mystérieuses . Elles
étaient devant une barque . Ils réfléchissaient à une manière de
traverser la mer pour rejoindre la falaise . On dirait que la barque
s'était échouée sur la plage par un jour pluvieux.
Aymen
Il y avait une tempête
qui passait. Deux silhouettes étaient inconscientes sur une île
car leur bateau s'était échoué. Puis il y avait des grosses vagues
qui s’écrasaient sur la falaise. Les mouettes s'envolaient car
elles avaient peur. Les nuages étaient bleus sombres. Les deux
silhouettes
se réveillaient et se
demandaient où ils se trouvaient. Leur bateau était ravagé, ils
avaient perdu leur voile dans la chute. Les vagues étaient trop
fortes pour partir à la nage. Ils allaient rester pour qu'on les
retrouve et qu'on les ramène chez eux. Il fallait qu'ils se
nourrissent. Ils allaient pêcher pour se nourrir et aussi
construire une caloge pour s'abriter du vent et de la pluie.
Nadjati
C'était
un jour de tempête, on entendait le bruit des vagues qui
s’éclataient sur la falaise et le crie des mouettes. On sentait
une odeur de poisson et le froid de l'eau. On ressentait le goût de
l'eau salée. On avait l'impression de toucher le vent tellement il
était froid. L'air était très humide. Il y avait deux personnes
qui étaient debout à côté d'un bateau, ils comptaient repartir
mais ils attendaient que la mer se calme.
Khalil
C'était
un jour de tempête, on entendait le bruit des vagues qui
s’éclataient sur la falaise et le crie des mouettes. On sentait
une odeur de poisson et le froid de l'eau. On ressentait le goût de
l'eau salée. On avait l'impression de toucher le vent tellement il
était froid. L'air était très humide. Il y avait deux personnes
qui étaient debout à côté d'un bateau, ils comptaient repartir
mais ils attendaient que la mer se calme.
Nour-Adon
La tempête avait l' air
violente. Les vagues étaient fortes et le vent fouettait. Il y avait
beaucoup d' écume et les vagues s' abattaient sur le sable. Il y
avait beaucoup de pluie. Le cri des mouettes était violent. Deux
silhouettes avaient l' air de réfléchir à comment traverser la
mer. Leur bateau était brisé et ils n' avaient pas les outils
appropriés pour réparer leur bateau. Alors ils eurent l' idée de
construire des caloges pour s' abriter des vagues et du vent.
Ouassim
Il
y avait une énorme roche qui
faisait peur. Le vent fouettait le corps et le visage des deux
pêcheurs. Les vagues s'éclataient. Le bateau était cassé. Ils ne
pouvaient pas traverser la mer . La pluie était forte . Il y avait
un froid glacial , les vagues éclataient sur la roche . On entendait
les vagues et le grondement de l' orage.
Rihanna
Pauvres
pêcheurs! Ils ne pouvaient plus pêcher car la mer était trop
agitée. Les vagues s'écrasaient sur la falaise, les mouettes
s'envolaient effrayées. L'hameçon
se
faisait emporter par le courant, le souffle du vent était si fort
qu'il emportait la paille des caloges. Le ciel était noirci de
nuages à cause de la tempête. Mais ces pêcheurs ne bougeaient
point. On pouvait voir ces deux silhouettes effrayées et inquiètes
qui voulaient retrouver leur famille.
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