Blog de l'école des Alagniers de Rillieux la pape - 69

lundi 1 mai 2017

Mer agitée à Etretat - Classe de Mme Sagne et Mme Lescure




Yacine

La tempête immense soufflait et fouettait les remparts. Les vagues roulaient sur le sol de la plage mou comme de la boue. Le cri des mouettes dérangeaient les hommes. On sentait les algues gluantes . L'orage s'approchait. Deux hommes rangeaient leurs affaires comme s'ils allaient partir. La mer commençait à se dérouler. Le vent frappait tous les volets des maisons. On sentait la fraîcheur des galets.

Amira

On apercevait deux hommes, debout sur une grande et grosse roche, avec comme des sortes de tente. La mer agitée était de couleur triste et pâle. La tempête était forte, elle tapait sur la roche. La pluie inondait les barques. Malgré la tempête, la grande falaise solide ne bougeait pas. Les vagues, tapaient sur les roches et atterrissaient sur les deux hommes déjà mouillés.

Aryham

C'était un jour tempête . Les rafales de vent claquaient le visage . On entendait l'orage qui grondait et les vagues qui s'écroulaient sur la falaise . Les mouettes criaient sans-arrêt. Une odeur spéciale se rependait, on sentait les algues, les poissons dans la mer, les cailloux mouiller et l'humidité qui collait à la peau... Il y avait deux silhouettes. Elles semblaient très mystérieuses . Elles étaient devant une barque . Ils réfléchissaient à une manière de traverser la mer pour rejoindre la falaise . On dirait que la barque s'était échouée sur la plage par un jour pluvieux.   

Aymen

Il y avait une tempête qui passait. Deux silhouettes étaient inconscientes sur une île car leur bateau s'était échoué. Puis il y avait des grosses vagues qui s’écrasaient sur la falaise. Les mouettes s'envolaient car elles avaient peur. Les nuages étaient bleus sombres. Les deux silhouettes
se réveillaient et se demandaient où ils se trouvaient. Leur bateau était ravagé, ils avaient perdu leur voile dans la chute. Les vagues étaient trop fortes pour partir à la nage. Ils allaient rester pour qu'on les retrouve et qu'on les ramène chez eux. Il fallait qu'ils se nourrissent. Ils allaient pêcher pour se nourrir et aussi construire une caloge pour s'abriter du vent et de la pluie.

Nadjati

C'était un jour de tempête, on entendait le bruit des vagues qui s’éclataient sur la falaise et le crie des mouettes. On sentait une odeur de poisson et le froid de l'eau. On ressentait le goût de l'eau salée. On avait l'impression de toucher le vent tellement il était froid. L'air était très humide. Il y avait deux personnes qui étaient debout à côté d'un bateau, ils comptaient repartir mais ils attendaient que la mer se calme.


Khalil

C'était un jour de tempête, on entendait le bruit des vagues qui s’éclataient sur la falaise et le crie des mouettes. On sentait une odeur de poisson et le froid de l'eau. On ressentait le goût de l'eau salée. On avait l'impression de toucher le vent tellement il était froid. L'air était très humide. Il y avait deux personnes qui étaient debout à côté d'un bateau, ils comptaient repartir mais ils attendaient que la mer se calme.         

Nour-Adon

La tempête avait l' air violente. Les vagues étaient fortes et le vent fouettait. Il y avait beaucoup d' écume et les vagues s' abattaient sur le sable. Il y avait beaucoup de pluie. Le cri des mouettes était violent. Deux silhouettes avaient l' air de réfléchir à comment traverser la mer. Leur bateau était brisé et ils n' avaient pas les outils appropriés pour réparer leur bateau. Alors ils eurent l' idée de construire des caloges pour s' abriter des vagues et du vent.

Ouassim

Il y avait une énorme roche qui faisait peur. Le vent fouettait le corps et le visage des deux pêcheurs. Les vagues s'éclataient. Le bateau était cassé. Ils ne pouvaient pas traverser la mer . La pluie était forte . Il y avait un froid glacial , les vagues éclataient sur la roche . On entendait les vagues et le grondement de l' orage.   

Rihanna

Pauvres pêcheurs! Ils ne pouvaient plus pêcher car la mer était trop agitée. Les vagues s'écrasaient sur la falaise, les mouettes s'envolaient effrayées. L'hameçon
se faisait emporter par le courant, le souffle du vent était si fort qu'il emportait la paille des caloges. Le ciel était noirci de nuages à cause de la tempête. Mais ces pêcheurs ne bougeaient point. On pouvait voir ces deux silhouettes effrayées et inquiètes qui voulaient retrouver leur famille.

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